Du « palais de l’incomparable » dont parlent les contes et les poèmes, il ne reste aujourd’hui que les murs d’enceinte et la grand cour intérieure plantée d’oliviers et d’orangers. En 1696, le sultan de l’époque demanda la démolition du palais et le quitta en emportant toutes ses richesses pour fonder la ville de Meknès.